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Aimable petite conne

3 février 2009

We're at the top of the world

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We're at the top of the world, you and I.
We've got a lot of time and it sure feels right.
Cause you reached in your pocket
and pulled out a pass that says,
you can take me anywhere.
Sha la la la. Sha la la la la la la.
We're on the top of the world, here tonight.
We've got alot of time and it sure feels right.
....you can take me anywhere.

The Juliana théory...

Emotion is dead...

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24 janvier 2009

Où se situe la normalité?

De faible à fiable il n'y a qu'une lettre, ça veut peut-être tout dire.
Un peu comme de Grace à garce en somme.
Je sais que j'ai énormément de désir pour toi.
J'essaie toujours de débrancher mon cerveau.
Mais rien n'y fait : c'est trop difficile pour moi.
Je cogite, tout afflue, le sang avec.
Je ne veux rien savoir. Ne rien entendre pour ne rien voir.
Des danses impromptues sont si vite glissées sous la rétine.
Je méprise les gens méprisants.
J'emmerde les pseudo intellectuels qui n'ont rien vu mais jugent leur prochain, sans d'ailleurs le considérer comme tel.
Le Cute Flat n'est pas mort.
Je veux des maillots de bain. Des tonnes... Mais ne compte pas aller à la mer.
Aucun intérêt donc, c'est l'idée.
Chercher de fausses excuses. Chercher de vrais tourments.
Tu t'es retirée de l'affaire. Objectivement, t'as rien à dire.
C'est vrai.

Le foot sous la pluie.
Le pique-nique par temps d'orage.
La baise sur la plage.
Que-des-problèmes.
Chanson populaire.
Les Bad Boyz du Boulevard Brune.
Un mémoire.
Ma mémoire. Grignotante. Présente. Agaçante.
Parfois on s'est qu'on emmerdé parce que c'est le corps qui réagit.
Lui, ne peut pas mentir.
Un oiseau est entré dans ma chambre, j'ai cru avoir une crise cardiaque.
Ecarte les jambes, chienne. Je te prendrai sur un couffin.
Joli poncho.
Un couscous ?
Ou pas.
Compter jusqu'à 25, ouvrir les yeux, et constater qu'on vit toujours dans le même monde de merde.
Compter jusqu'à 25, ouvrir les yeux, et se demander si être aveugle n'est pas une chance.
Etre con.
Etre bonne.
Etre conne.
Mascarpone.
Une studette, ou un studio ?
Pas cher ! Pas cher !
Elle est enceinte... La chance.
Pourquoi ? Pourquoi moi ?
Il est vraiment trop chou avec ses fossettes.
You rock my life ! You really rock my life ! Thank life, Thank love !
Georgina's a bitch who deserve to die.
Parle ou je mourrai étouffée.
Ne dis plus un mot.
Forget me not.
La rose est dans le pré. Si tu la voies pas c'est que t'as du mal.
Une fille sublime dans une salle pleine de tons, c'est agressé.
"J'ai mal au ventre."
Je t'aime.
Un costume ça change un homme.
Le mois de Juillet veut me tuer.
La rue Mouffetard, la rue Broca, existaient déjà.
Please, we're talking about real life. You're not Cinderella. Real people, human beings make mistakes. That's normal.
Où se situe la normalité ?
Pourquoi me sens-je incapable de suivre les conseils des autres ?
Quoi, tu vas avoir vingt ans ?! Détournement de mineure !
Qui t'a dit que je voulais que tu me détournes?
Le shopping est le remède à tous les maux de coeur.




"J'ai cru que j'allais mourir, tellement j'en avais envie. Ca me brulait, tellement j'en avais envie."


A la place de la Princesse de Clèves, je me serais tapé le Duc de Nemours.
Il doit y avoir là l'une des différences majeures qu'on trouve entre l'innocence et la salope en son essence.

Mais je m'en branle, puisque tout le monde s'en branle.


"It's the hunger. The hunger of an alternative. And the refusal to accept a life of unhappiness."


-A. j'aime beaucoup ta serviette.

-Non K. c'est un haut. Un top. On dit pas serviette en français.

Ah ces Américains... :)

24 janvier 2009

Glencoe... La vallée des larmes...

Voilà un voyage que j'aimerais entreprendre!!!

Glencoe en Ecosse...

Le paysage est magnifique, c'est à couper le souffle!!!!

C'est une vallée désertique, flanquée de montagnes aux formes... magiques!

Il y a eu une histoire horrible là-bas aussi, c'est (je crois) ce qui m'attire dans cet endroit!

LE MASSACRE DE  

GLENCOE

Les trois sœurs se profilent à gauche et la dernière forme la paroi même de la passe.  Glencoe, falaises d’ombre comme un gigantesque cul-de-sac.  On distingue des grottes, très haut dans la roche : là se cachèrent Deirdre et son amant Naoise qu’accompagnaient ses frères.  Poursuivis par la haine du roi Conchobar d’Irlande à qui la jeune fille était destinée, ils parcoururent l’Écosse sauvage, jusqu’à ce que la traîtrise du Conchobar ramène les jeunes gens à la cour d’Ulster, pour y mourir.  Le surnaturel imprègne si fort ces parages que les hommes de Glen Coe naissaient tous poètes. 

Plus forte que les ombres de la mythologie, une horreur bien réelle a posé un voile noir sur Glencoe. 

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Vallée de Glencoe 

C’est ici que se place un épisode particulièrement célèbre de l’histoire des Highlands, épisode que la tradition écossaise maintient vivant jusqu’à nos jours.   

La fidélité au roi Jacques était profondément enracinée dans beaucoup de clans ; l’hostilité aux Campbell, traditionnelle dans toute une partie du pays, rattachait la question des luttes de clans entre eux.  L’aspect religieux de ces rivalités ne doit pas être surestimé (les Campbell presbytériens, les Mac Donald catholiques) mais il ne peut pas non plus être passé sous silence. 

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Jacques VII  

Aussi, quand prit fin le bref règne (1685-1688) de Jacques VII par la fuite du roi, les clans de la région furent-ils réticents à se rallier aux nouveaux souverains.  Après la convention qui offrit la couronne d’Écosse à  Guillaume d’Orange et à Marie, en mars 1689, le vicomte de Dundee rassembla les Highlanders.  Malgré la victoire de Killicrankie où ils perdirent leur chef, ils furent définitivement défaits un mois plus tard à Dunkeld.   

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Bataille de Killicrankie le 27 juillet 1689

Craignant toujours une renaissance du jacobisme, le gouvernement voulut tenter d’autres tactiques ; apaiser les Highlands ou les dévaster.  Les mettre au désespoir ou mieux encore les détruire avant qu’ils aient la bonne idée de se procurer l’aide nécessaire.  Guillaume proposa le pardon à tous les clans qui lui prêteraient serment d’allégeance et fit alors une proclamation officielle qui ordonnait aux chefs des clans de faire serment d’allégeance avant le 1er janvier 1692, toute insoumission serait châtiée par le feu et l’épée.   

Les inspirateurs de la politique du gouvernement dans toute cette affaire étaient essentiellement le «  maître de Stair » John Dalrymple (1648-1707), qui résidait à ce moment à Londres auprès du roi, John Campbell, comte de Breadalbane (1635-1717- un cousin des Campbell d’Argyll) le comte d’Argyll lui-même Archibald Campbell.  La tendance était donc à la fermeté et à la dureté.  Comme d’habitude, le zèle des subordonnés amplifia les ordres donnés en haut lieu et la tragédie couronna le tout.

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Clan Campbell de Breadalbane   

Le moment de l’année avait été mûrement réfléchi «  l’hiver, soulignait Stair, est la seule saison où nous sommes sûrs que les Highlanders ne peuvent s’échapper en emportant les femmes, les enfants et le  bétail dans les montagnes… c’est le bon moment pour les tailler en pièces dans la longue nuit noire ».   

Parmi les clans jacobites ou réputés tels, figurait le petit clan des Mac Ian, partie du grand clan Mac Donald qui occupait l’austère vallée de Glencoe.  Ils avaient la réputation d’être particulièrement pillards et indisciplinés.   

Au tout dernier moment, Jacques II autorisa les chefs jacobites à faire allégeance à son gendre ( Mary II était la fille de Jacques II et épouse de Guillaume d’Orange). Stair en fut fort désolé.  Pourtant, à la date prévue, deux chefs manquèrent à l’appel MacDonell de Glengarry, relativement important, et le vieux chef de clan d’un sept turbulent mais jouant un rôle mineur chez les Mac Donald Mac Ian Mac Donald de Glencoe.  Ce dernier, sans doute autant en raison de sa lenteur naturelle que du mauvais temps, arriva trois jours en retard à Inveraray, siège du substitut du juge royal.  L’officier public s’étant absenté, il dut attendre le 6 janvier pour accomplir son devoir.  Pour Guillaume, c’était l’occasion rêvée. Accordant un délai à Glengarry, il prit Mac Ian pour bouc émissaire. «  Si Mac Ian de Glencoe et cette tribu peuvent être complètement coupés du reste, écrivit-il au général commandant les troupes des Highlands, ce sera un acte en faveur de la justice publique de  faire disparaître cette secte de bandits.

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Robert Campbell de GlenLyon   

Une compagnie du régiment d’infanterie du comte d’Argyll, commandée par le capitaine Robert Campbell de Glenlyon, parent par alliance de Mac Ian, fut donc expédiée à Glencoe.  Fidèle aux lois de l’hospitalité Mac Ian Mac Donald et son clan les accueillirent aimablement et les hébergèrent durant plusieurs jours.  Durant son séjour, le capitaine Campbell passa du temps à boire et à jouer aux cartes avec Mac Ian et ses fils tandis que les soldats fraternisaient avec les membres du clan.

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Mac Donald de Glencoe   

Puis, le 12 février, Robert Campbell reçut de son supérieur, le major Duncanson, les instructions suivantes : «  Vous avez ordre de fondre sur les Mac Donald de Glencoe et de passer au fil de l’épée tous ceux qui ont moins de soixante-dix ans.  Vous devez veiller particulièrement à ce que le vieux renard et ses fils ne vous échappent sous aucun prétexte.   

Mais Ian a tardé à prêter serment à Guillaume d’Orange, roi d’Angleterre (de seulement quelques jours à peine). Ce soir-là, Robert Campbell et deux de ses officiers dînèrent comme de coutume chez Mac Ian.  Pendant ce temps, quatre cents soldats allèrent bloquer l’accès de la vallée par le nord et par le sud. 

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Glencoe, la vallée des larmes 

Au petit matin du 13 février 1692, Campbell de Glenlyon et ses hommes exécutèrent les ordres. Des groupes de soldats allèrent de maison en maison, massacrant les Mac Donald endormis et brûlant leurs demeures.  Mac Ian fut abattu par un des ses invités de la veille.

La neige se mettant à tomber, quelques habitants de la vallée, profitant du chaos parvinrent à s’échapper dans les collines enneigées de la rivière Coe.

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Rivière Coe

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Glencoe l’ombre de la mort

Trente-neuf Mac Donald, des femmes, des enfants et le vieux chef, sont assassinés.  À peine une cinquantaine de malheureux purent s’enfuir dans les montagnes où la plupart périrent de faim et de froid.   Cette fois, Guillaume d’Orange et Stair avaient gagné ; la tuerie allait servir d’exemple aux jacobites et permettre au gouvernement de mieux tenir en main cette région insoumise. Mais deux des  fils de Mac Ian survécurent et révélèrent le forfait. La  propagande jacobite s’en empara aussitôt et toute l’Europe catholique voire même en Angleterre,  s’indigna de la barbarie et de la perfidie du gouvernement du roi Guillaume. 

Le principe sacré, pour les Highlanders, de l’hospitalité avait été violé et que les hommes de Glenlyon aient massacré de sang-froid leurs hôtes révulsait même ceux qui n’avaient aucune sympathie pour Glencoe et les siens. Les journaux anglais, peu de temps après, le confirment ; les hommes à la solde du roi avaient l’ordre de saisir l’occasion de neutraliser les irréductibles Mac Donald. 

Plus que le massacre (les clans connaissaient assez bien ce langage-là), c’est la violation de l’hospitalité sacrée, surtout entre Écossais, qui souleva l’indignation de tous.  Glenlyon commit l’irréparable, l’impardonnable selon l’éthique gaélique ; il accepta l’hospitalité de Mac Ian, puis au petit matin du 13 février 1692 fit massacrer le clan, son chef en tête.   

Aujourd’hui encore, Glencoe, la vallée des larmes (The Glen of the Weepings), semble ne rien avoir oublié ; à l’entrée de l’auberge Clachaig, rendez-vous immanquable des randonneurs et des montagnards, une plaque en cuivre annonce qu’on n’accueille ici ni les démarcheurs, ni les Campbell.

18 janvier 2009

Jack the Ripper

1ere Victime: Mary Ann Nichols dite: "Polly"victimas

2eme Victime: Annie Chapman dite: "Dark Annie"

3eme victime: Elizabeth Stride dite: "Long Liz"

4eme victime: Catherine Eddowes dite: "Kate Conway"

5eme victime: Mary Jane Kelly dite: "Ginger"

Jack L'éventreur en France...

J'aime bien cette histoire.

Pas pour ce qui a été fait, quoi que... ça me fascine tout ça!

Que des prostituées... Pourquoi?

Pourquoi s'arrêter au 5eme meutre?

Pourquoi le dernier meutre fut-il aussi... horrible?

Et comment ce fait-il qu'on ne l'ai jamais retrouvé?

Jamais su qui il était?

Des questions qui resteront à jamais sans réponses...

C'est ça que j'aime dans ses histoires là, le fait de pouvoir imaginer le pourquoi du comment...

Mais à la fin, on veut savoir si on était loin de la vérité, mais on aura jamais la réponse... Et ça c'est que je n'aime pas dans ses histoires là!

18 janvier 2009

Aux armes et Caetera

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                             Allons enfant de la patrie
                                    Le jour de gloire est arivé
                   Contre nous de la tyrannie
           L'étendard sanglant est levé
                                             Aux armes et caetera
                        Entendez-vous dans les campagnes
                                                       Mugir ces féroces soldats
                             Ils viennent jusque dans nos bras
             Egorger nos fils nos compagnes
                                             Aux armes et caetera
                 Amour sacré de la patrie
                            Conduis soutiens nos bras vengeurs
        Liberté liberté cherie
                                     Combats avec tes défenseurs
                                             Aux armes et caetera
                           Nous entrerons dans la carrière
  Quand nos aînés n'y seront plus
                                       Nous y trouverons leur poussière
                   Et la trace de leurs vertus
                                             Aux armes et caetera

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17 janvier 2009

L'amour?

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Qu'est ce que l'amour?

Quand peut-on dire je t'aime?

Quand se dit-on amoureux?

Qu'est ce qui fait qu'un matin, on se lève et on se dit "j'aime" ou "je l'aime"?

Un jour on m'a dit, "être amoureux, c'est pouvoir dire à quelqu'un qui nous dit 'je ne t'aime pas', je taime quand même!!!

A cette personne je voudrais dire "Et bien je t'aime quand même!"

Mais je ne sais pas si c'est de l'amour...

Et si je demande ce qu'est l'amour, je retourne la question à

"qu'est ce que la vie?"

Il parait qu'on ne peut pas vivre sans amour!

Pourtant, je ne me rapel pas avoir "aimé", ressenti ce frisson, cette envie de tout donner à l'autre...

Mais je vis et ne m'en porte pas plus mal!

je n'ai que 20ans, la vie devant moi et ne cherche pas "l'amour de ma vie", il me tombera dessus bien assez tôt je pense!

Mais pour le moment, mon but est de profiter autant que je peux de ma vie de célibataire!

17 janvier 2009

Bonnie and Clyde

bonnie1je ne sais pas comment définir l'attirance que j'ai pour leur histoire, c'est comme Jesse James...

Ils n'ont vécu que 2 années de délires fous avant la mort, mais ils étaient heureux!!!

je ne les comprends pas, pourtant, on peux dire ke je m'arrache les cheuveux sur leur histoire!!! mais avec toute les versions qu'on a , va trouver le vrai du faux!!!

J'aurais tellement aimé vivre leurs vies!!!!

La libertée, l'amour, la mort...bonnie_clyde

17 janvier 2009

Melody Nelson

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Ca c'est l'histoire
De Melody Nelson

Qu'à part moi-même personne
N'a jamais pris dans ses bras
Ça vous étonne
Mais c'est comme ça

Elle avait de l'amour
Pauvre Melody Nelson
Ouais, elle en avait des tonnes
Mais ses jours étaient comptés
Quatorze automnes
Et quinze étés

Un petit animal
Que cette Melody Nelson
Une adorable garçonne
Et si délicieuse enfant
Que je n'ai con-
Nue qu'un instant.

Oh ! Ma Melody
Ma Melody Nelson
Aimable petite conne
Tu étais la condition
Sine qua non
De ma raison

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